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Ceci est une partie infime des événements relatés, adressés .. suite à mon renvoi des JSA

des fautes inexcusables pour certains impardonables pour d'autres..

ces événements ont été vécus ..mal vécus voir très mal vécus par mes proches et amis

poutant cela m'a permis de faire de nouvelles rencontres  .. puis un retour aux "JSA" quelques années plus tard en 1995 à la demande de Michel GOUT

Je crois que, sans cela, il  y a un manque quelque part. ...c’est ce manque qu’évoque dans sa lettre Michel Gout, plus précisément dans le dernier paragraphe ou il dit «  votre légitimité est évidente... vos passages ont marqué notre vie associative, il est grand temps que notre famille soit réunie après tant de vie, au seul nom de notre amour passé et présent aux JSA et au basket. 

 

 

Mardi  5 mai 1987

Lors du Conseil d’Administration, le président de section , expose les faits à sa manière….

Plus question que Claude BARBIER  entraine les séniors filles, que cette équipe solidaire de son entraineur, d’une part, et face à de nombreux arrêts de joueuses d’autre part, n’est plus viable actuellement.

Que cette équipe repartira quand le groupe des minimes actuel sera compétitif dans 4 ou 5 ans

Que face au projet défini par le groupe de haut niveau et la section basket, il n’est pas concevable que je puisse intervenir dans ces projets pour diverses raisons.

A la question de Jean Marie ROUMEGOUX demandant qu’elles étaient ces raisons

                Que Claude BARBIER n’était plus du tout en accord d’idée avec lui sur les projets de la section et des JSA (je n’ai jamais discuté avec lui  sur ce sujet)

                Qu’il était impossible, compte-tenu de tout ce que je disais contre la maison de quartier et l’évolution actuelle, que je puisse collaborer.

A ce stade de la discussion, Le Président confirma volontairement les dires et précisa qu’ils ne pouvaient plus travailler sereinement, et qu’ils en avaient par-dessus la tête de ces histoires. Il ajouta :

                Qu’il n’avait jamais voulu travailler avec moi

                Qu’il croyait effectivement lui aussi que je critiquais la politique et les responsables de la maison de quartier que je n’avais jamais accepté

                Que s’il n’y avait pas eu la maison de quartier les JSA n’existeraient plus

                Que l’esprit patro était resté le même et qu’il y veillait jalousement pour faire respecter ce que les anciens avaient apporté ainsi qu’André VIAUD et Jean Maire ROUMEGOUX

J’ai répondu que je n’étais pas contre la maison de quartier et que je connaissais son apport aux JSA mais qu’effectivement je n’étais pas en accord sur tout.

Puis on est revenu à des critiques plus générales sur mon travail à la salle…

 Mais le gros problème réside dans certains propos,

que ce dernier ne peut plus travailler en aucune façon avec moi, que c’est un rejet épidermique et qu’en dehors de toutes autres considérations, il était hors de question que je sois inclus dans ses  projets.

 Démission  de

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C.A du mercredi 3 juin 1987

Convocation par téléphone le lundi 1 juin sans ordre du jour

1-Lecture par le Président DEVEAUD des « événements » et établissement d’une liste de reproches adressée à Claude BARBIER. Certains remontent à très loin

Cela m’a permis de régler quelques comptes avec lui surtout après qu’il m’ait dit que « j’envoyais toujours les autres en première ligne et qu’après je me défilais … »

Je lui ai fait l’historique des événements, que son attitude était inqualifiable et je crois l’avoir traité de «  petit Président »

J’ai été obligé, une fois encore, de dire que j’étais « autant » JSA que d’autres et que personne n’avait le droit de dire le contraire.

Jean Louis a ressorti une phrase du dernier compte rendu « écrit par lui » ou j’aurais dit que j’avais refusé de m’intégrer.

Mise au point en répondant que depuis « l’entrevue » avec DEVEAUD, nous étions d’accord l’un et l’autre sur le fait qu’il ne travaillerait pas avec moi et moi avec lui.. Jean Louis en a convenu.

Discussion sur les filles, la démarche « scandaleuse », le tort fait au club. Madame MIQUEAU, les lettres pas arrivées ou celles adressées à des étrangers au club. Qui, qui, qui, a fait cela, a couvert cela ? Jean et moi c’est indiscutable…

Nous avons répondu avec Jean qu’elle avait été notre responsabilité dans l’affaire de la lettre, que l’intention n’était pas celle qu’ils nous prêtaient.

Pour ma part j’ai répondu que j’avais moi aussi le droit de me considérer comme Sali

Pourquoi, comment

J’ai dit ce qu’on disait de moi à la mairie

Jean a répondu que leur façon d’agir étant inconcevable et interprétant à leur convenance les actions des autres ...

On en est arrivé à ce que l’on prévoyait, à savoir la demande de démission  à Jean qui répondit de lui adresser par écrit les faits qu’on lui reprochés

    Pas question d’écrits... et lecture du règlement des statuts qui dit qu’une exclusion peut être demandée sous le motif de faute grave. On passa au vote ; 8 pour 1 contre.

J’ai demandé à être exclu  moi aussi, pas question que je donne ma démission.

Nous sommes partis avec Jean

 

lettres ouvertes

  lettre-ouvertejuin-87.docx lettre-ouvertejuin-87.docx

courrier-adresse-a-un-membre-le-26-octobre-1987-1.docx courrier-adresse-a-un-membre-le-26-octobre-1987-1.docx

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