CINQUANTENAIRE DE BI IZARRAK

 

Comment situer un cinquantenaire ? Sur quoi, sur qui, sur quels événements doit-on s’appuyer pour relater ces nombreuses années qui peuvent être, pour certains, le résumé d’une tranche de vie sans grands reliefs ou au contraire, le reflet de diverses périodes qui sont autant de richesses dans une existence individuelle ou associative.

Et c’est notre cas, en effet Bi Izarrak a vécu dès le départ une extraordinaire aventure qui peut se traduire en une phrase  «  Achat d’une vieille ferme  de 1716 à  Bidart et ouverture d’un centre de vacances quelques mois après ».

Il n’est pas question que mon propos passe en revue, ni cette inoubliable époque, ni d’ailleurs les suivantes et il ne m’appartient pas de prendre la place de celles et de ceux qui vont se retrouver ce soir pour se rappeler ce qu’ils ont partagé et qui ne peut  être  traduit que par eux.

L’équipe de responsables chargée de l’organisation de ce cinquantenaire a effectué un travail conséquent qui a permis de mettre à votre disposition des panneaux de photos, des films, des documents qui retracent, en partie, les « moments » qui restent gravés dans l’histoire de chacun mais qui sont aussi l’histoire de Bi Izarrak dans la diversité des lieux ou la compétence de nombreux directeurs et moniteurs a pu s’exprimée.

C’est évidemment l’un des objectifs de notre manifestation mais je voudrai aussi témoigner de l’engagement de beaucoup de nos membres qui ne peut se traduire que par un seul mot « amour ».

Aimer comme ceux du début qui nous ont tracés un chemin qui permet de conjuguer le passé et le présent. Pour l’avenir je profite de notre réunion pour dire que les portes de notre association sont largement ouvertes à tous ceux qui désirent poursuivre l’œuvre commencée il y a cinquante ans sous la direction d’un chef exceptionnel André VIAUD.

A ce mot amour, a ce nom d’André, je voudrai ajouter celui de reconnaissance pour celles et ceux qui nous ont quitté.

Au créateur André VIAUD, au constructeur René PARADOL, aux ouvrières et ouvriers

Mesdames et Messieurs DANEY, LEYLE, GARMENDIA, LABOUDIGUE, GOURION, ALBERT, KHERES, LASCAZE, DEMANNES, PIONIER, CASSIN, DUCHEIN, BEIGO, BROUILLARD, GOURION, Les prêtres, le père GAVE, René TAUZIN, les sœurs de la rue Paul Courteault..

Je demande pardons à ceux que j’ai oublié de citer mais ils sont toujours présents dans notre cœur et notre esprit, et je souhaite que les responsables actuels aient autant de plaisirs et de joies à poursuivre l’aventure de Bi Izarrak.

 

                                                                                              Claude BARBIER

 

 

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